Face à la dégradation du local du PCF 35 par un groupe d’extrême droite, le POiD 35 assure la fédération du PCF 35 de sa solidarité.
Il est prêt à s’associer à toute action de défense des libertés démocratiques.
Dehors Macron
Après l’assassinat d’un enseignant à Arras
Le bureau national du Parti ouvrier indépendant démocratique (POID) condamne l’assassinat d’un enseignant du lycée Gambetta d’Arras et l’agression dont ont été victimes d’autres personnels du lycée.
Continuer la lectureDéfense de la Démocratie – Communiqué
Le Parti ouvrier indépendant démocratique (POID) a pris connaissance des arrêtés d’interdiction pris par les préfets, représentants du gouvernement Macron, à Lyon, Marseille, Paris et dans de nombreuses villes, à l’encontre des manifestations, rassemblements et initiatives de solidarité avec le peuple palestinien. La France est la seule de toutes les grandes puissances d’Europe et d’Amérique du Nord où ces manifestations ne seront pas autorisées.
Continuer la lectureManifestations contre les violences policières. 1000 personnes défilent à Rennes – Vu sur FR3B
Et surtout, que rien ne bouge ?
La Nupes s’est donc mise à l’heure de la division. Dernier épisode en date, Mélenchon déclare à propos de ses partenaires : « Je ne les aime pas. » Et de régler ses comptes : l’écologie qui n’est « pas anticapitaliste (…), c’est du jardinage », « le socialisme qui ne met pas en cause le capitalisme, c’est mignon », quant au PCF, « s’il ne se donne pas comme objectif une révolution socialiste, je me demande ce que c’est ».
La seule voie !
Ce n’est pas si vieux : au printemps dernier, alors que se multipliaient les manifestations contre la réforme des retraites, un mot d’ordre a jailli, repris par des milliers de voix et de pancartes dans tout le pays : « Macron démission ! » Si on avait dit aux manifestants d’alors que, quelques mois plus tard, les dirigeants de la « gauche » iraient bavarder et dîner avec Macron douze heures durant, ils ne l’auraient pas cru !
Union Européenne et gouvernements : ils sont responsables du drame des réfugiés
Des réfugiés, dont de nombreux enfants, vivent depuis plusieurs mois sous des tentes au Parc des Gayeulles à Rennes. Leur nombre augmente et risque de s’accroître fortement du fait du manque de moyens donnés aux centres d’hébergement d’urgence par le gouvernement. Avec toutes les conséquences humaines et sanitaires graves de cette extrême précarité.
Certes, il ne s’agit que de 50 centimes…
Cinquante centimes : c’est le montant de la « franchise médicale » réglé par l’assuré social sur chaque boîte de médicaments et chaque acte paramédical, dans la limite de 50 euros par an. La « participation forfaitaire » prélevée par la Sécurité sociale pour chaque visite chez le médecin s’élève, elle, à 1 euro par visite avec un même plafond.
N’y a-t-il pas un lien ?
« J’ai dû choisir entre un frigo rempli et des vacances à la mer » : à l’instar de cette mère de famille interrogée par Le Parisien, de 35 à 40 % de la population – dont un million d’enfants pour la seule Île-de-France – ne partiront pas du tout en vacances cette année, un nombre bien plus élevé que celui des années précédentes. Principale raison : le « manque de moyens aggravé par des prix qui explosent », l’inflation constituant « un facteur de bascule ».
Une illusion mortelle
La confrontation publique entre deux piliers de l’État, la police et la justice, crée une situation inédite en France depuis la fondation de la Ve République.
D’un côté, la police nationale, dont le directeur général (DGPN) se prononce pour la libération d’un policier placé en détention provisoire dans le cadre d’une instruction judiciaire pour violences policières commises à Marseille. Cette prise de position est couverte par Darmanin, dont l’entourage a fait savoir à France Info que « le DGPN avait toute la confiance du ministre ». Continuer la lecture